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Réalisé par Anton Corbijn (2007)
Avec : Sam Riley (Ian Curtis), Samantha Morton (Deborah Curtis), Alexandra Maria Laria (Annik Honoré), Joe Anderson (Peter Hook)...
Durée : 1h 59min.
Ian, leader du groupe Joy Division, est déchiré entre sa vie de famille, sa gloire naissante et son histoire d'amour avec Annik.
Incapable de choisir, à la veille de la première tournée américaine du groupe qui s'annonce triomphale, à 23 ans, il entre dans la légende.
Avis perso :
Ce film, est une pépite à tous les égards : la prestation de Sam Riley est époustouflante, il est littéralement possédé par son rôle, il va même jusqu'à simuler les crises d'épilepsie dont souffrait le chanteur... son implication est totale.
Le noir et blanc est un choix qui traduit à la perfection la tristesse de cette époque, de laquelle ont émergé des merveilles telles que The Cure, Bauhaus...
Et puis il y a la musique... cette musique envoûtante, tour à tour lancinante (Atmosphere) ou échevelée (Failures), mais toujours spleenétique et glaciale (Transmission, Shadowplay...). On se la prend en pleine face durant 2H de plaisir d'une intensité rarement égalée.
Ce film est comparable aux poèmes de Baudelaire : avant de les lire, on sait qu'on va se faire mal, mais c'est tellement beau qu'on ne peut pas s'en empêcher...
T'es parti trop tôt Ian...
Réalisé par Anton Corbijn (2007)
Avec : Sam Riley (Ian Curtis), Samantha Morton (Deborah Curtis), Alexandra Maria Laria (Annik Honoré), Joe Anderson (Peter Hook)...
Durée : 1h 59min.
Ian, leader du groupe Joy Division, est déchiré entre sa vie de famille, sa gloire naissante et son histoire d'amour avec Annik.
Incapable de choisir, à la veille de la première tournée américaine du groupe qui s'annonce triomphale, à 23 ans, il entre dans la légende.
Avis perso :
Ce film, est une pépite à tous les égards : la prestation de Sam Riley est époustouflante, il est littéralement possédé par son rôle, il va même jusqu'à simuler les crises d'épilepsie dont souffrait le chanteur... son implication est totale.
Le noir et blanc est un choix qui traduit à la perfection la tristesse de cette époque, de laquelle ont émergé des merveilles telles que The Cure, Bauhaus...
Et puis il y a la musique... cette musique envoûtante, tour à tour lancinante (Atmosphere) ou échevelée (Failures), mais toujours spleenétique et glaciale (Transmission, Shadowplay...). On se la prend en pleine face durant 2H de plaisir d'une intensité rarement égalée.
Ce film est comparable aux poèmes de Baudelaire : avant de les lire, on sait qu'on va se faire mal, mais c'est tellement beau qu'on ne peut pas s'en empêcher...
T'es parti trop tôt Ian...