Date de sortie 1 octobre 2014 Réalisé par Antoine Fuqua Avec Denzel Washington, Chloë Grace Moretz, Marton Csokas
Synopsis et détails
McCall, un homme qui pense avoir rangé son passé mystérieux derrière lui, se consacre à sa nouvelle vie tranquille. Au moment où il rencontre Teri, une jeune fille sous le contrôle de gangsters russes violents, il décide d'agir. McCall sort ainsi de sa retraite et voit son désir de justice réveillé.
Je ne ratais jamais un épisode de la série, même si Denzel Washington n'a pas le même charisme qu'Edward Woodward, il a déjà prouvé qu'il était très à l'aise dans ce genre de rôle (je pense à man on fire).
__________________________________________________ De toutes les créatures des immensités de l univers,aucune ne me ressemble.J étais là au début de l univers.Je serais la à sa fin.
A part le titre, je retrouve pas grand chose de la série télé ! Cela dit , ça semble bien sympa et apparemment , il faut pas le faire chier Denzel ...remarquez, avec Fuqua à la réalisation, c'est pas étonnant
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"Avec Denzel Washington à l'affiche, même un film d'action « R-rated » peut cartonner au box-office. D'autant que son rôle s'intègre parfaitement au répertoire « ass-kicking » qu'il a cultivé au cours de cette dernière décennie. C'est donc sans difficulté que Equalizer démarre à la première place ce week-end en récoltant 35 millions de dollars. C'est le quatrième meilleur score pour un mois de septembre et c'est mieux que 2 Guns (27 millions en août 2013), son précédent hits US. En plus, le thriller a seulement coûté à l'alliance Sony/Columbia 55 millions hors promo, mais a déjà rapporté 17,8 millions à l'étranger, soit 52,8 millions en tout. Autant dire qu'il a quasiment remboursé son budget et qu'il atteindra aisément la barre symbolique des 100 millions en fin d'exploitation américaine."
source: ecranlarge
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La critique d'Unification France n'est pas tendre :
" Antoine Fuqua n’est pas un immense réalisateur. Sa collaboration précédente avec Denzel Washington, Training Day en 2001, avait valu à l’acteur un Oscar. Sorti de là, rien de bien remarquable. Et Equalizer ne vous laissera pas un souvenir impérissable. Il n’y a pas de surprise, on sait d’où on vient et où le film va nous mener. Le film n’a rien à voir avec la série qui l’a soit-disant inspiré. Denzel Washington n’a pas la classe d’Edward Woodward et leurs manières de fonctionner ne pourraient pas être plus différentes. Honte à Michael Sloan et Richard Lindheim, les créateurs de la série d’origine et producteurs du film, d’avoir ainsi laissé massacrer leur "bébé", et nos souvenirs de fans des années 80.
Equalizer a toutes les caractéristiques d’un film de série B : gros moyens, grosses explosions, scénario qui tient sur un timbre poste, des morts à gogo à grand renfort d’hémoglobine et c’est à peut près tout. Un acteur principal qui a l’air de s’ennuyer, une co-star (Chloë Grace Moretz) que l’on voit somme toute très peu (ce qui est bien dommage car elle est la seule à tirer son épingle du jeu), des méchants caricaturaux. Fuqua ne nous gratifie même pas d’un combat final dantesque avec le méchant ultime. Pourtant avec un film de plus de deux heures, il y avait moyen de caser ça. La réalisation est au diapason : des ralentis/accélérés dont on peine à comprendre l’intérêt, des images granuleuses qui ruinent (un peu plus) un film qui n’avait pas besoin de ça.
Et dire qu’un second opus est déjà en développement... insensé...
La bande - annonce française tout de même , ne soyons pas chien
le greffon prend miraculeusement pour donner certes un film mutant mais foutraquement jouissif. C'est que le réalisateur ne cherche pas à tout faire rentrer de force. Non. Son secret c'est d'empiler, tel un mille-feuilles aux ramifications de prime abord indigestes, différentes postures de cinéma diamétralement opposées pour en faire quelque chose d'étonnamment crédible. Pour cela, il s'aide d'abord d'un Denzel « Equalizer » Washington dont l'extrême conviction par tous les pores de son cou musculeux. Être producteur exécutif doit aussi motiver. En face, il bénéficie d'un bad ass de première en la personne de Marton Csokas, méconnaissable, qui distille à chacune de ses apparitions un malaise prégnant et poisseux. Ainsi formé, le couple gère la montée progressive d'un climax multiple dont la démesure se justifie à chaque instant.
Pour qui se rappelle de la série, Fuqua en livre une variation détonante et au final assez fidèle.
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Vu ce matin, sincèrement j'en attendais peu au départ, puis les BA m’ont donné confiance au fur et à mesure, eh bien , on a le droit à un sacré polar mené de main de maître par un Denzel Washington en grande forme, du coup quel plaisir de revoir se reformer le duo Fuqua/Washington, qu détonne autant qu'a l'époque de training day!
La rage de Denzel Washington est impressionnante dans ce film, totalement en concordance avec l'émotion de Chloé Grace Moret, une interprétation de folie, qui nous prend au tripes, ce film qui débute sur la relation entre ce fameux personnage mystérieux et cette jeune prostituée, pose les personnages, leur psychologies, pour enfin voir arrivé le changement brutal en milieu de film, et là on se prend une belle claque.
Un film, que je vais me faire plaisir à revoir! par contre à ne pas voir en dessous de 14/15 ans...
Redwing a écrit:Pareil J'adore Washington depuis la baffe que j'avais prise à l'époque en le découvrant dans 'Glory' et il me tarde de le voir dans celui-ci.
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